lundi 19 mai 2008

Un chat sachant sucer des sushis

Ca y est : Bob le bricoleur est de retour du Sud. Et le sud... Quand tu vas dans le sud, tu es content 2 fois : quand tu y es nommé et quand tu rentres chez toi" (pour ceux qui ont vu "Bienvenue chez les Ch'tis").
Du coup, ce week-end on a encore avancé dans la cuisine : le plan de travail (sur mesure s'il vous plaît) est entièrement posé (yapluka le peindre) et on a fait une baignoire à bois. Oui. Des explications, peut-être, dans un prochain épisode.
J'ai songé un instant remplacer les paillettes par la sciure, faire des tags à la scie sauteuse, fixer les brad à la perceuse... Mais comme je suis la sagesse même, j'ai décidé d'attendre une table plus...fonctionnelle.
Et tout ça pour dire quoi ? Pour dire que je vous emmène voir une tour moche et manger des sushis... virtuels.

"Dimanche 19 août 2007
Journée tour moche.
Bon, ok, la Tokyo Tower n’est pas si moche que ça. Elle n’est pas la réplique exacte de la Tour Eiffel, elle est peinte en rouge et blanc, et surtout elle fait 30 mètres de plus, histoire de faire toujours mieux que tout le monde. Mais elle n’ est pas du tout mise en valeur sur le site où elle est, et surtout, elle a un truc immonde entre les pattes : un bâtiment marron et cubique, affreux à l’extérieur, hideux à l ’intérieur. Jean-Marie et Sofiane ne montent même pas à l’ observatoire à cause de la file d’attente et du prix (moi ? Mais il n ’a jamais été question que je monte sur ce truc à 150 m du sol !)


Le soir, fort de nos expériences « on se ballade sans Ben et sans se perdre », on se dit qu’on peut tenter le « on va manger au resto sans Ben et sans se faire empoisonner ». Histoire tout de même de limiter les risques, et pour éviter d’errer au hasard (j’ai tout de même 2 hommes à nourrir…), je propose de retourner au 8F (eighth floor) du Yodobashi, testé le 15 août avec Nicolas.
Et là, on découvre le paradis ! Un « bar à sushis » (je connais vaguement le nom japonais, mais pour ce qui est de la transcription…). Vous être assis devant un tapis roulant sur lequel défile des assiettes contenant chacune 2 sushis ou 2 makis. Vous vous servez en fonction de vos envies. Chaque assiette est munie d’une puce pour le prix (à chaque couleur correspond un tarif) et la fraîcheur des sushis, histoire que la même assiette ne tourne pas 2 h sans trouver preneur autour du resto. A la fin la serveuse se pointe avec son petit laser de poche, elle scanne la pile et le tour est joué !

Certes, Sofiane n’aime pas le poisson cru. Mais il s’est régalé de « tamago », des sushis à l’omelette. Et Jean-Marie et moi…On a fait une orgie de 16 sushis chacun (phrase à répéter 10 fois très très vite), notamment des « anago », des sushis au congre. Oui, oui, le congre que le bar abhorre, mais moi, j’adore !


2 commentaires:

Lily a dit…

ha oui je me rappelle de cette page ! j'aime bien les papiers of course et ton alphabet sushis !
voilà !

Lily a dit…

MDR ! je reviens de chez le dentiste qui m'a anesthésié et j'avous que ton chat qui a sucé des sushis c'est délirant dans ces conditions .